Putois européen
Faune sauvage

Le Putois, ce héros méconnu

Le Putois d'Europe est un mammifère, peu connu, car nocturne et discret. Bon nageur, doté d'une sacrée mâchoire, c'est un animal sensible et qui retient les leçons que lui donnent les humains !

Quand on parle du putois, on pense souvent à son parfum… disons, puissant. Pourtant, ce petit carnivore mérite bien plus que sa mauvaise réputation olfactive !

Entre ses talents de chasseur et son rôle crucial dans l’équilibre de nos écosystèmes, le putois est un vrai héros méconnu de nos campagnes. Promis, vous ne le regarderez plus jamais de la même façon (et pas seulement à cause de son odeur) !

Qui est le Putois ?

Description

  • Son poil : pelage brun foncé sur le dos, et plus clair sur les côtés.
  • Tête avec une tache blanche sur le museau, pouvant se prolonger sur la tête.
  • Corps très fin, long. Court sur pattes. Ses oreilles sont petites et rondes, avec un liseré blanc
Le Putois un animal sensible
Le Putois un animal sensible
  • Sa taille : de 40 à 60cm de longueur. Sa queue mesure entre 10 et15cm de longueur.
  • Son poids : le mâle pèse entre 500gr et 1 kg et la femelle maximum 700 grammes.
  • Espérance de vie du Putois : entre 3 et 5 ans à l'état sauvage.

L’odeur du putois

Ah, l’odeur du putois ! Ce chef-d'œuvre olfactif capable de faire fuir un renard, un chien… ou même un pique-nique en pleine nature.

Imaginez : vous êtes un petit carnivore sans grandes griffes ni crocs impressionnants. Comment tenir tête à un renard ou un chien de chasse ? En déclenchant une alerte générale pour dire : "Ne m'approchez pas, je ne plaisante pas !"

Le putois utilise son odeur comme un moyen de défense ultime. Grâce à ses glandes anales, il peut projeter un liquide particulièrement nauséabond pour éloigner les prédateurs ou tout intrus un peu trop curieux. Ce n’est pas un caprice olfactif, mais une question de survie !

Mais ne croyez pas que le putois passe son temps à "vaporiser" son environnement : il économise son précieux parfum pour les situations critiques. Une fois éjecté, il faudra du temps pour recharger ses réserves. Résultat ? Il préfère souvent fuir discrètement plutôt que d’appuyer sur la gâchette odorante. Pratique, efficace et stratégique !

Où vit le putois ?

Le putois, mystérieux noctambule, mène une vie discrète et bien rodée. Impossible ou presque de le croiser en plein jour : il préfère l'obscurité pour explorer son territoire et chasser.

Côté habitat, le putois a ses petites préférences : les zones humides comme les étangs ou les bords de rivière, les bocages, les clairières ou encore les bois. Pourquoi ? Parce qu’il y trouve à la fois de quoi se nourrir et des cachettes parfaites.

Polyvalent, il nage comme un champion, grimpe aux arbres avec aisance et peut même jouer les architectes en creusant son propre terrier.

Mais pas de gaspillage d’énergie inutile : il n’hésitera pas à réaménager un terrier abandonné ou à squatter une crevasse rocheuse pour s’y installer. Bref, le putois sait s’adapter et transformer son environnement en un véritable palace sauvage.

La vie privée du putois

Le putois n’est pas du genre à organiser des dîners mondains. En bon solitaire, il mène une existence plutôt indépendante, préférant son petit coin tranquille à la compagnie de ses congénères. En dehors de la saison des amours, croiser un autre putois sur son territoire peut vite virer à la dispute. Il n’apprécie pas vraiment qu’on vienne marcher sur ses plates-bandes… ou sur son parfum, d’ailleurs.

Mais quand l’amour est dans l’air, tout change ! Les putois se rencontrent, se séduisent (sans trop abuser de leurs odeurs, rassurez-vous) et assurent la pérennité de l’espèce. Après cette période romantique mais brève, chacun retourne à son quotidien solitaire.

Putois ou Furet européen
Putois ou Furet européen

Le putois est un sensible

Cette sensibilité nous rappelle qu’il mérite notre respect, même si son parfum peut parfois nous faire froncer les sourcils. Comme tout être vivant, il ressent les impacts de ce qui lui arrive. Qu’il soit face à un danger, à un environnement hostile ou à des moments plus paisibles, le putois est bien plus qu’un simple acteur de la chaîne alimentaire : c’est un être doté de perceptions et d’émotions. Une bonne raison de le regarder autrement, non ?

Le Putois est il dangereux ?

Le putois n’est pas un animal dangereux pour l’homme. Ce petit carnivore préfère éviter les confrontations et se montre plutôt timide.

Son "arme" principale, ce fameux jet nauséabond, est purement défensive. Il ne l’utilise qu’en dernier recours, lorsqu’il se sent vraiment menacé. Pas d’agression gratuite donc, mais une stratégie de survie très efficace pour dissuader les prédateurs ou les curieux trop insistants.

Par ailleurs, le putois ne mord que s’il est acculé ou capturé. Et encore, même là, il privilégie la fuite à l’agression. Comme beaucoup d’animaux sauvages, il suffit de le respecter et de ne pas essayer de le manipuler pour éviter tout problème.

Si vous le menacez, le bloquez, ou si vous menacez ses petits, alors il se défendra, et n'hésitera pas à mordre. Mais il n'y a aucune raison d'avoir peur du Putois.

Ce n'est pas un animal naturellement dangereux. Il n'est ni gentil, ni méchant, c'est juste un animal sauvage qui n'a aucune raison d'avoir un quelconque contact avec les humains (de dangereux prédateurs !)

Que mange le putois ? Un carnivore opportuniste

Le putois, c’est un peu le gastronome de la nature… version survivaliste. Toujours prêt à se régaler, il adore les petits rongeurs – campagnols et mulots sont son plat de résistance. Pas de fourchette ? Pas grave, il les attrape d’un bond agile.

Côté entrée, il craque pour les grenouilles ou les tritons, parce que rien de tel qu’un petit dîner au bord de l’eau. Et si ça croasse ou que ça coasse, il est encore plus content.

Mais attention, le putois sait aussi se faire plaisir avec un buffet d’été : quelques œufs d’oiseaux chipés, des insectes croustillants ou même de la viande séchée trouvée en vadrouille. Et en dessert ? Quelques baies ou fruits tombés – le sucré, ça fait toujours plaisir après un repas bien copieux.

Ce qui est bluffant, c’est que monsieur nage comme un champion pour choper un poisson ou une écrevisse. Et si jamais c’est la pénurie ? Pas de panique : direction les poubelles pour un festin improvisé (pas très classe, mais bon, ça nourrit).

Bref, le putois, c’est un vrai épicurien : il mange de tout, partout, tout le temps. Mais attention, il est aussi très discret : si vous le surprenez à table, il risque de partir sans demander son reste… avec un petit nuage parfumé en guise d’au revoir !

Le putois mange des rongeurs
Le putois mange des rongeurs

Comment se reproduit le Putois ?

Le putois est un romantique saisonnier : la saison des amours débute au printemps, entre mars et mai. Monsieur Putois, pas très casanier, part en quête d’une madame compatible, qu’il charme à coups de reniflements et de roulades (pas très glamour, mais efficace dans le monde des putois).

Une fois la mission accomplie, chacun retourne à son territoire : pas de couple fusionnel chez les putois, c’est madame qui gère tout et toute seule ! Chez les putois, la famille est donc monoparentale. Quand à monsieur, vu qu'il ne vit pas en couple, il peut rencontrer plusieurs compagnes durant la saison de reproduction. Cela ne l'engage à rien, puisqu'il ne fait que passer...

L'installation du nid

Madame Putois se met au travail pour préparer un nid douillet. Elle choisit souvent un terrier abandonné, une crevasse ou même un abri au pied d’un arbre. Pas de bricolage inutile : pourquoi creuser quand on peut rénover ? Une fois installée, elle tapisse son nid avec des feuilles et de l’herbe pour que ses futurs petits soient bien au chaud.

Madame Putois n'a qu'une seule portée par an

La naissance des petits

Après une gestation d’environ 6 semaines, c’est la fête au nid : 3 à 7 petits (parfois plus !) voient le jour. À leur naissance, ils sont aveugles, sourds et entièrement dépendants de leur maman. Pas de panique, elle assure comme une chef ! Elle les nourrit, les réchauffe et les protège avec une vigilance digne d’une super maman.

Putois un mammifère non nuisible
Putois un mammifère non nuisible

À leur naissance, les petits putois sont minuscules : ils mesurent à peine 5 centimètres et arborent un pelage tout doux de couleur gris clair, bien loin de la robe noire et blanche typique des adultes. Totalement dépendants de leur maman, ils passent leurs premières semaines bien au chaud dans le nid, blottis contre leurs frères et sœurs.

L’apprentissage de la vie sauvage

Les petits commencent à ouvrir les yeux au bout de 4 semaines, et c’est là que les choses deviennent intéressantes. Curieux comme tout, ils commencent à explorer le monde sous l’œil attentif de leur mère. À 6 semaines, ils goûtent leurs premiers vrais repas : un rongeur bien frais apporté par maman, miam !

Petit à petit, ils apprennent à chasser, à nager et à grimper – toutes les compétences indispensables pour devenir de parfaits petits putois.

La grande indépendance

À l’automne, vers l’âge de 4 mois, les jeunes quittent le nid pour partir à l’aventure et trouver leur propre territoire. Pas de colocation entre frères et sœurs : chacun suit son chemin, prêt à perpétuer l’histoire de ces petits carnivores mal compris mais fascinants.

Et voilà, la boucle est bouclée, jusqu’au printemps suivant, où le cycle recommence… avec peut-être un petit nuage parfumé pour pimenter la romance !

Les Putois peuvent se reproduire à partir de l'âge de 9 mois.

Les prédateurs du putois

Le putois, malgré sa discrétion et son parfum dissuasif, n’échappe pas aux dangers qui rôdent. Et malheureusement, son plus grand prédateur, c’est l’humain.

Piégé pour sa fourrure par le passé, parfois encore abattu ou écrasé par des véhicules, il subit aujourd’hui une autre menace sournoise : la destruction de ses habitats. Les zones humides, les bocages et les clairières, qui lui offrent abri et nourriture, disparaissent peu à peu sous les coups de l’urbanisation et de l’agriculture intensive.

Côté prédateurs naturels, ils sont peu nombreux, mais le renard, le blaireau et certains rapaces (notamment les hiboux et les aigles) ne diront pas non à un putois croisant leur route, surtout un jeune ou un individu affaibli.

Cependant, le putois avec son arme fatale (son parfum à faire fuir tout un régiment) arrive parfois à se faire respecter. Juste le temps pour lui de se mettre à l'abri. Les boules puantes ça marche plutôt pas mal !

Et les chasseurs, malheureusement, ne l’épargnent pas. Même si le putois est aujourd’hui mieux protégé dans certains pays, il finit trop souvent dans les pièges destinés à ces espèces.

Putois d'Europe
Putois d'Europe

En somme, le putois doit jouer d’ingéniosité et de prudence pour survivre face à une combinaison de dangers naturels et humains. Mais ce petit carnivore rusé et adaptable a prouvé qu’il pouvait résister... à condition qu’on lui laisse un peu de place pour vivre en paix !

Le Putois est il nuisible ?

Le Putois a été retiré de la liste des animaux "susceptibles d'occasionner des dégâts", appelés anciennement animaux "nuisibles". Ouf ! Mais il n'en reste pas moins considéré comme un "gibier", et peut donc continuer à être traqué et chassé comme tous les autres gibiers.

Et pourtant, les populations de Putois ne cessent de diminuer !

Lorsque les animaux, considérés comme du gibier (faisans, perdrix, lièvres, lapins) étaient assez nombreux, partout en France, la présence du Putois ne posait pas problème. Sauf que ces animaux, autrefois en très grand nombre, ont disparu de bon nombre de nos régions. Maladie, perte des habitats, pression de la chasse, que reste t'il à notre putois pour se nourrir ?

Ce pauvre Putois se retrouve donc accusé de maux, qui, le plus souvent ne lui sont pas imputables. Il n'est pas responsable de la disparition du gibier, ni des espaces humides et des bocages. Il vit juste sa vie, comme il le peut, avec l'espace et les ressources que les humains veulent bien lui laisser !

Le putois d'Europe est confronté à un déclin notable de ses populations, principalement dû à la destruction de ses habitats naturels et à la pression humaine. En France, bien que l'espèce ne soit plus classée parmi les « nuisibles » depuis 2021, elle n'est pas encore inscrite sur la liste des mammifères protégés, malgré les demandes répétées de la Société Française pour l'Étude et la Protection des Mammifères (SFEPM). Cette situation contraste avec celle d'autres pays européens, tels que le Royaume-Uni, la Suisse ou l'Italie, où le putois bénéficie d'une protection légale accrue.

Le Putois : un allié méconnu mais indispensable

Malgré sa réputation olfactive, le putois mérite une standing ovation pour son rôle dans nos écosystèmes. Ce petit carnivore est un régulateur naturel et un véritable gardien de l’équilibre. Voici pourquoi il est si utile :

Un exterminateur de rongeurs

Les campagnols, mulots et autres petits rongeurs, souvent considérés comme nuisibles pour les cultures, sont le plat préféré du putois. En régulant leurs populations, il aide les agriculteurs à limiter les dégâts dans les champs et les greniers, sans avoir recours aux pesticides. Le putois est donc un anti rongeur écologique.

Un nettoyeur des zones humides

Amphibiens, petits poissons, insectes… le putois joue aussi un rôle dans le contrôle des populations de certaines espèces aquatiques ou semi-aquatiques. En fréquentant les étangs, marais et rivières, il contribue à maintenir un équilibre écologique dans ces milieux souvent fragiles.

Le putois d'Europe en danger
Le putois d'Europe en danger

Un composteur sauvage

Le putois ne fait pas la fine bouche : il consomme aussi des carcasses d’animaux et des restes qu’il trouve sur son chemin. En tant que nettoyeur naturel, il participe au recyclage des matières organiques dans la nature.

Un indicateur de biodiversité

La présence du putois est un signe que son habitat est en bonne santé. Zones humides, bocages, clairières… si le putois est là, c’est que ces milieux offrent encore suffisamment de ressources pour soutenir des chaînes alimentaires variées. En le protégeant, on protège aussi tout un écosystème.

En résumé, le putois est un petit héros de la nature, bien loin de l’image du trouble-fête malodorant. Alors, la prochaine fois que vous entendrez parler de lui, rappelez-vous qu’il est bien plus qu’un simple mustélidé : c’est un allié discret mais précieux pour la biodiversité !

Interactions avec les humains : une histoire de malentendus

Historiquement, le putois a été perçu comme un nuisible, accusé de s'attaquer aux basses-cours et aux populations de petit gibier. Cette réputation a conduit à sa chasse intensive et à son piégeage. Cependant, des études récentes montrent que le putois cause rarement des dégâts dans les poulaillers, étant davantage attiré par les rongeurs présents que par les volailles elles-mêmes

La protection du Putois

Nombreuses sont les associations (LPO, Aspas ) de défense des animaux sauvages qui se sont battues pour obtenir le retrait du Putois des animaux classés "potentiellement nuisibles".

C'est une réalité depuis 2021, mais le chemin reste long pour que les Putois puissent retrouver une vie tranquille et normale. Et dans certains départements, l’animal peut, du jour au lendemain, faire l’objet d’un plan de chasse spécial par simple arrêté préfectoral !

Le Putois a réelle utilité sur la régulation des populations de rongeurs, comme les rats taupiers, les campagnols, les surmulots, qui font des ravages dans les champs cultivés et jusque dans les jardins.

Fouine, Martre, Belette, comment les différencier ?

Ces trois là se ressemblent quand même beaucoup ! Mais elles ont quand même quelques différences qui nous permettent de les différencier.

  • La Fouine : tache blanche sur la gorge, qui peut descendre jusqu'aux pattes. Tête triangulaire. Nez pointu, rosé.
  • La Martre : pelage brun, assez foncé, avec une bavette orange sous le cou. Sa truffe est brune.
  • La Belette : plus petite en taille que la Fouine. Elle mesure entre 15 et 30 cm. Gorge et ventre blanc.
  • Le Putois : brun avec le bout du museau blanc.

Putois ou Moufette, quelles différences ?

  • Origine : le putois vit en Europe, la moufette en Amérique.
  • Apparence : le putois a un pelage sombre avec un masque facial discret, la moufette affiche des rayures blanches bien visibles sur fond noir.
  • Odeur : le putois utilise son jet odorant en dernier recours, tandis que la moufette est une tireuse de précision, avec un parfum tenace qui dure des jours.
  • Alimentation : le putois est carnivore opportuniste (rongeurs, amphibiens), la moufette est omnivore (insectes, fruits, déchets).
  • Comportement : e putois est discret et farouche, la moufette s'aventure parfois près des habitations.

En résumé, l’un est un champion européen de la discrétion, l’autre une star américaine explosive !

Mouffette
Mouffette

Le Putois, un mal-aimé à réhabiliter

Le putois, souvent jugé à tort pour son odeur, est bien plus qu’un petit carnivore discret. Sentient, utile pour l’équilibre écologique, et injustement persécuté par le passé, il joue un rôle crucial dans nos écosystèmes en régulant les populations de rongeurs et en préservant la biodiversité. Pourtant, il reste méconnu et menacé par les activités humaines et la destruction de son habitat.

En apprenant à mieux le connaître, à reconnaître ses qualités et à protéger son environnement, nous pouvons changer notre regard sur cet animal fascinant. Alors, la prochaine fois que l’on parle du putois, souvenez-vous qu’il n’est pas seulement une "odeur sur pattes", mais un véritable allié de la nature, indispensable et digne de respect.

FAQ Vos questions sur le Putois

Quelle est l’odeur du putois ?

Le putois dégage une forte odeur musquée lorsqu’il est stressé ou menacé. Ce parfum puissant, libéré par ses glandes anales, sert à dissuader les prédateurs. Et généralement, ça fonctionne plutôt pas mal, car l'odeur est terrible et reste très longtemps dans l'air. En temps normal, il n’est pas plus odorant qu’un autre petit mammifère. Le tout étant de ne pas le contrarier !

Quel est l’autre nom du putois ?

Le putois d’Europe (Mustela putorius) est parfois appelé fouine putois ou tout simplement putois d’Europe pour le distinguer du furet, son cousin domestiqué. On le confond aussi avec la fouine, qui lui ressemble beaucoup.

Est-ce que les putois crient ?

Oui, le putois peut pousser des cris aigus, surtout s’il est effrayé ou lorsqu’il se sent menacé. Ces vocalises servent à intimider l’adversaire. La plupart du temps, il reste cependant discret et silencieux, ce qui lui évite les ennuis.

Comment chasser un putois ?

Le putois est une espèce protégée dans plusieurs pays européens. Il est donc interdit de le piéger ou de le tuer. Si un putois rôde près d’un poulailler, la meilleure solution est de renforcer les clôtures et fermer les poulaillers la nuit. Le dissuader sans lui nuire reste la meilleure option.

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