Le Pinson des arbres, le discret charmeur
Le Pinson des arbres (Fringilla Coelebs) c'est un peu comme ce voisin chic qui ne fait pas trop de bruit mais dont on admire toujours la tenue quand on le croise.
D’un naturel plutôt discret, il préfère passer inaperçu la plupart du temps… sauf quand la saison des amours arrive ! Et si, au premier coup d’œil, il semble réservé, ne vous y trompez pas, Monsieur Pinson sait se faire remarquer.
Installez vous confortablement, on vous présente ce joli compagnon à bec fin et à l’élégance naturelle !
Reconnaître un Pinson des arbres
Mais commençons par son identité : le Pinson des arbres (Fringilla Coelebs) fait partie de la famille des des Fringillidés (Fringillidae), une grande famille d'oiseaux chanteurs qui regroupe environ 200 espèces. Et dans cette grande famille, nous retrouvons le Chardonneret élégant et le Verdier d'Europe et le superbe Bouvreuil pivoine
Sa couleur : Monsieur Pinson est plus coloré. Brun gris sur les ailes, les côtés et l'arrière du cou sont gris, le ventre est blanc. Et Madame est dans les mêmes tons de couleurs, mais en un peu plus ternes.
On les reconnait surtout au blanc des ailes lorsqu'ils prennent leur envol.


Comment reconnaître un Pinson des arbres ?
Le Pinson des arbres est l’un des oiseaux les plus communs de France, mais aussi l’un des plus élégants. Discret l’hiver, flamboyant au printemps, il a tout pour plaire — y compris son habitude de chanter dès l’aube.
La durée de vie moyenne du Pinson des arbres est de 3 à 5 ans, mais certains individus dépassent les 8 à 10 ans quand les conditions sont favorables (absence de prédateurs, hivers doux, nourriture abondante).
Il n’est pas rare de voir le même Pinson revenir plusieurs années de suite au même jardin, fidèle à ses repères.
🪶 Le plumage : un costume trois-pièces
Chez le mâle, le plumage est un vrai feu d’artifice :
- une poitrine rosée, presque saumon,
- une calotte gris-bleu,
- un dos brun chaud,
- et deux barres blanches bien nettes sur les ailes, qui s’aperçoivent facilement en vol.
Ce mélange de teintes fait du Pinson un oiseau à la fois coloré et raffiné, qu’on repère souvent dès qu’il tourne la tête au soleil.
La femelle, plus sobre, porte une robe beige et brun-olive, idéale pour se fondre dans les feuillages — camouflage parfait pour couver sans se faire remarquer.
Les jeunes Pinsons ressemblent d’abord aux femelles, puis prennent leurs couleurs à mesure qu’ils grandissent.
📏 Taille et poids : petit mais costaud
Le Pinson des arbres mesure entre 14 et 16 cm de long pour une envergure d’environ 25 à 28 cm.
Côté poids, il ne dépasse pas 20 à 25 grammes — soit à peu près le poids d’une grosse cuillère à soupe de graines… ce qui tombe bien, puisqu’il adore ça !
Malgré sa petite taille, il est vif, rapide et capable de vols précis. Quand il s’envole brusquement du sol, on reconnaît immédiatement son battement d’ailes nerveux et son cri caractéristique.
Le chant du Pinson des arbres
Si vous entendez au petit matin un trille clair, roulant, terminé par une note plus sèche, il y a fort à parier qu’un pinson des arbres vous salue.
Son chant est l’un des plus reconnaissables du printemps : joyeux, musical et obstiné. Chaque mâle possède sa propre version du chant, apprise de ses voisins et répétée des milliers de fois par jour pour marquer son territoire et séduire sa belle.
En dehors de la période de reproduction, il émet plutôt un petit “pink pink” sonore, utilisé pour rester en contact avec les autres membres du groupe.
Le Pinson chante six mois de l'année. Du mois de Février au mois de Juillet.
Si vous voulez écouter le Pinson des arbres CLIQUEZ ICI
Le Pinson chante "avè un accent" peuchère !
Le Pinson de Lille ne chante pas tout à fait comme le Pinson de Marseille. Si, si, c'est vrai ! C'est un phénomène fascinant chez les oiseaux !
Le chant du Pinson des arbres peut en effet varier selon les régions, comme une sorte de dialecte local. C’est un peu comme les accents chez les humains. Un pinson de Lille "parlera" donc différemment d’un pinson de Marseille !
Comme les populations de Pinsons sont relativement sédentaires, elles développent au fil du temps des "variations régionales" dans leurs chants. Cela peut se traduire par des différences de rythme, de tonalité ou de motifs sonores. C’est un peu comme si chaque région avait son propre style musical de Pinson.
Une langue musicale régionale !

Où vit le Pinson des arbres ?
Le Pinson des arbres porte bien son nom : il adore… les arbres ! Ce petit oiseau coloré n’est pas du genre à se contenter d’un balcon en béton ou d’un terrain vague.
Il préfère la verdure, les feuillus, les conifères, et tout ce qui bruisse sous le vent. En clair : il vit partout où il y a des arbres, des buissons, et un peu de tranquillité.
On le croise aussi bien dans les forêts, les haies champêtres, les vergers, les parcs et les jardins — bref, dans presque toute la France, sauf là où il n’y a plus une feuille à se mettre sous la patte.
Le Pinson n’a pas de préférence absolue : en plaine comme en montagne, en ville comme à la campagne, il s’adapte tant qu’il trouve des graines et quelques insectes pour son menu du jour.
Pendant la belle saison, il s’installe volontiers dans les bois clairs et les lisières, là où la lumière perce entre les branches.
L’hiver venu, c’est une autre histoire : certains Pinsons prennent la route du sud (Espagne, Maghreb), pendant que d’autres restent courageusement sur place, trottinant dans les jardins en quête de miettes et de graines tombées du nichoir.
Autrement dit, le Pinson des arbres vit là où la nature respire encore un peu. S’il disparaît d’un coin, c’est rarement un hasard : cela signifie que les haies ont été rasées ou que les pesticides ont pris le dessus. Ce petit oiseau, très commun en apparence, est en réalité un excellent indicateur de la santé de nos campagnes.
Comment vit il ? Sa vie sociale
Le Pinson des arbres, c’est un peu le voisin sympa du quartier : présent, bavard et toujours tiré à quatre plumes. Très sociable hors saison des amours, il se montre nettement plus possessif quand vient le printemps.
Monsieur Pinson devient alors le gardien d’un petit royaume de branches et de feuilles, qu’il défend à coups de chants fiers et de postures démonstratives.
Car oui, le chant du Pinson des arbres n’est pas qu’un simple gazouillis romantique. C’est un message clair : “Ici, c’est chez moi !” Les mâles rivalisent de virtuosité pour séduire leur belle et tenir les concurrents à distance. Et il faut reconnaître qu’ils ont du coffre : on peut les entendre chanter jusqu’à 4 000 fois par jour au printemps. Rien que ça.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on le voit souvent en bande joyeuse autour des mangeoires : monsieur Pinson aime la bonne compagnie. En revanche, si vous êtes un autre mâle Pinson, ne vous avisez pas d’approcher son territoire au printemps : il vous le fera savoir à coups de chant strident et de battements d’ailes dignes d’un petit coq de forêt.

Une vie bien réglée
Le Pinson est un oiseau diurne et plutôt routinier. Il se lève tôt (très tôt !), picore tout ce qu’il trouve sous les arbres — graines, insectes, bourgeons — puis alterne entre baignades rapides, toilette minutieuse et petites disputes de voisinage. L’après-midi, il aime se percher pour chanter encore un peu, ou pour observer ce qui se passe sur son territoire.
Pendant la saison de reproduction, le Pinson des arbres devient monogame, fidèle à sa partenaire du moment.
Une fois les jeunes envolés, la rigueur du couple s’assouplit : à la fin de l’été, les pinsons redeviennent très grégaires. Ils forment de grandes bandes mixtes, parfois mêlées à d’autres espèces de fringilles (comme les verdiers ou les chardonnerets), qui se déplacent ensemble à la recherche de nourriture.
C’est à cette période qu’on les voit se dandiner en petits groupes sur les chemins ou les pelouses, à la manière d’une bande d’amis en balade.
Dans ces groupes, chacun garde une petite distance, mais tout le monde reste à l’écoute. Si l’un s’envole brusquement, les autres suivent sans discuter. Ce réflexe de groupe, typique du Pinson, le protège des prédateurs et lui permet de repérer plus vite les bonnes zones à graines. C’est une organisation simple, mais très efficace.
Bref, le Pinson des arbres mène une vie bien remplie : il chante, parade, défend son coin, élève sa famille, puis part voyager en bande une fois la saison passée. Un petit oiseau plein d’énergie, qui prouve qu’on peut être à la fois territorial et sociable — un équilibre dont beaucoup pourraient s’inspirer !
Que mange le Pinson des arbres ?
Le Pinson des arbres a l’air délicat, avec son plumage élégant et ses allures distinguées… mais côté assiette, il n’est pas difficile ! C’est un petit oiseau omnivore à tendance granivore : il aime surtout les graines, mais ne dit jamais non à un bon insecte croquant quand l’occasion se présente.

Le menu du printemps
Au printemps, monsieur et madame Pinson ont du pain sur la planche : ils doivent nourrir une nichée affamée. Du coup, leur régime devient riche en protéines.
Chenilles, pucerons, petits coléoptères, araignées et larves variées figurent alors au menu. Ces insectes sont parfaits pour les oisillons, qui ont besoin d’énergie pour grandir vite et bien.
C’est aussi à cette saison que le Pinson explore le sol, sautillant entre les feuilles mortes pour dénicher ses proies : un vrai petit détective de sous-bois.
L’été, la belle vie
Quand les petits sont envolés, le Pinson des arbres ralentit un peu le rythme. Il profite des graines de graminées et de plantes sauvages, parfois de quelques fruits tombés au sol.
C’est une période d’abondance : les forêts regorgent de victuailles et les pinsons font leurs réserves de graisses pour les semaines plus fraîches.
L’automne et l’hiver : graines, graines, graines !
Dès que les feuilles tombent, le Pinson change de stratégie. Exit les insectes (trop rares), bonjour les graines ! Il picore au sol ce qu’il trouve : faines de hêtre, graines de chardon, pissenlit, ortie, et tout ce qui tombe des mangeoires humaines.
En hiver, on le reconnaît facilement à sa manière de trotter sous les arbres ou autour des tables de nourrissage, toujours en petite bande, le bec penché vers le sol comme un détecteur de métaux à plumes.
Et si vous avez une mangeoire dans votre jardin, bonne nouvelle : le Pinson des arbres adore les mélanges de graines de tournesol, d’avoine et de millet. Mais évitez le pain sec et les restes de table, qui peuvent le rendre malade.
Un menu bien équilibré
Ce régime changeant selon les saisons explique sa bonne santé et sa vitalité. Grâce à son bec court et conique, parfait pour casser les graines, le Pinson peut s’adapter à presque tous les environnements — un atout qui explique pourquoi il est si répandu en Europe.
En résumé, le Pinson des arbres mange ce que la nature lui offre, au bon moment. Un vrai gourmet rustique, capable de passer d’un ver dodu à une graine de pissenlit sans sourciller.
Comment se reproduit le Pinson des arbres ?
Chez le Pinson des arbres, le printemps sonne comme un grand bal des cœurs. Dès que les jours rallongent et que les bourgeons pointent, monsieur Pinson enfile son plus beau costume : poitrine rosée, calotte gris-bleu et plumes impeccablement lissées.
Et il se met à chanter, chanter, chanter… jusqu’à ce qu’une madame finisse par succomber à son concert romantique.

La saison des amours
La saison des amours commence vers mars-avril, juste après le retour des migrateurs. Les mâles, déjà installés sur leur territoire, se démènent pour attirer une femelle avec un mélange de mélodies, de vols nerveux et de petites poursuites dans les branches.
Une fois le couple formé, la romance ne dure pas éternellement : le Pinson des arbres est monogame… mais seulement pour la saison !
Le nid, un vrai petit bijou
Une fois en duo, madame Pinson prend les choses en main. C’est elle qui construit le nid, avec une minutie admirable. Elle choisit généralement une fourche d’arbre ou un buisson dense, à 2 ou 3 mètres du sol, puis façonne une coupe parfaite faite de mousse, de radicelles, de brindilles et même de toiles d’araignée pour le liant.
Le résultat est si propre et soigné qu’on dirait un petit bol tissé par un artisan miniature. L’extérieur est souvent camouflé avec des lichens pour se fondre dans le décor — une véritable prouesse d’architecture végétale.
Les œufs et l’incubation
Madame pond 4 à 5 œufs bleu pâle tachetés de brun, qu’elle couve seule pendant 12 à 14 jours. Monsieur, lui, veille aux alentours et lui apporte parfois à manger, entre deux envolées de surveillance.
Durant cette période, le nid devient un sanctuaire : pas question de s’en approcher sans risquer un vol de diversion bien étudié.
L’élevage des petits
Les poussins naissent nus et affamés, mais leurs parents ne chôment pas. Pendant deux semaines, les deux adultes se relaient pour nourrir la nichée avec des insectes, chenilles et petites larves. Ces protéines sont essentielles pour faire pousser leurs plumes à vitesse grand V !
À 14 jours environ, les jeunes Pinsons quittent le nid maladroitement, souvent sous le regard inquiet de leurs parents qui continuent de les nourrir encore plusieurs jours.
L’envol et la nouvelle génération
Une fois autonomes, les jeunes rejoignent d’autres bandes de jeunes Pinsons et commencent leur apprentissage du monde : trouver de la nourriture, reconnaître les chants, éviter les chats… tout un programme !
Le couple parental, lui, peut élever une seconde couvée si la saison s’y prête et que la météo reste clémente.
En résumé, la reproduction du Pinson des arbres est un ballet bien orchestré : un chant pour séduire, un nid de maître, des œufs délicatement couvés et une ribambelle de jeunes piafs prêts à prendre leur envol. Un petit miracle qui se répète chaque printemps sous nos fenêtres, si l’on prend le temps d’écouter.

Les petites histoires du Pinson des arbres
Tout le monde connait l'expression : Gai comme un Pinson. Et pourtant, il semble que parmi nos ancêtres, certains n'étaient pas tout à fait d'accord sur la signification de ce chant.
Dans certaines régions, le fait d'entendre un Pinson dès le matin était signe de pluie. Dans d'autres régions, le chant du Pinson près d'une maison, annonçait un malheur.
Retenons donc la meilleur des significations, car le Pinson est un grand chanteur, il ne peut donc pas nous annoncer de malheur. Ainsi les vignerons ont-ils un dicton qui nous dit que : " Si à la Saint Samson (le 28 juillet) le Pinson est au buisson, pour le vigneron, le vin sera bon ". Gageons que ce dicton est valable pour tous les Pinsons !
Comment différencier le Pinson des arbres et le Pinson du Nord ?
Ah, les Pinsons… deux cousins si proches qu’on les confond souvent ! Le Pinson des arbres (Fringilla coelebs) et le Pinson du Nord (Fringilla montifringilla) se ressemblent comme deux feuilles dans un même bosquet. Pourtant, en les observant bien, quelques détails trahissent leur identité.


Le plumage : la clé du mystère
C’est la première chose à regarder.
Le Pinson des arbres mâle arbore une poitrine rosée, un dos brun chaud et une calotte gris-bleu très reconnaissable. En été, il est pimpant, lumineux, presque élégant — comme s’il sortait d’un pressing.
La femelle, plus discrète, porte des teintes beige et brun-olive, parfaites pour passer inaperçue dans les feuillages.
Le Pinson du Nord, lui, a un style plus contrasté :
- Sa poitrine tire vers l’orange, bien marquée,
- Son dos est sombre, presque noir,
- Et sa tête paraît grise ou noirâtre, selon la lumière.
Cerise sur le gâteau : il a une tache blanche bien nette sur le croupion, visible en vol (le Pinson des arbres, lui, a deux barres blanches sur les ailes, mais pas ce croupion éclatant).
👉 Astuce de terrain : si vous voyez un pinson “orange et noir” en hiver dans votre jardin, c’est probablement un Pinson du Nord. S’il est plus rosé et bleuté, c’est le Pinson des arbres.
La saison et le lieu : un indice imparable
Le Pinson du Nord est un visiteur hivernal venu des forêts scandinaves et de Sibérie. Dès que le froid s’installe, il descend vers l’Europe de l’Ouest pour trouver de quoi se nourrir.
Vous pouvez donc le croiser en automne et en hiver, souvent en grandes bandes mêlées à des pinsons des arbres.
Le Pinson des arbres, au contraire, vit en France toute l’année (sauf dans les zones très froides). C’est lui que vous entendez chanter dès février dans les haies et les jardins, annonçant la fin de l’hiver.
En résumé
| Critère | Pinson des arbres | Pinson du Nord |
|---|---|---|
| Présence | Toute l’année en France | De l’automne au début du printemps |
| Poitrine | Rosée | Orange vif |
| Tête (mâle) | Gris-bleu | Noire ou gris sombre |
| Croupion | Brun, sans tache nette | Blanc très visible |
| Chant | Trille chantant et gai | Cri bref, nasillard |
| Habitat | Jardins, haies, forêts claires | Champs, bois, zones ouvertes en hiver |
Sources : INPN Espèces / oiseaux.net / MNHN
❓FAQ Vos questions sur le Pinson des arbres
Plus d’un promeneur s’est déjà laissé tromper ! Le Pinson du Nord est le plus souvent confondu avec lui, surtout en hiver.
Ces deux espèces ont la même taille et la même silhouette, mais le Pinson du Nord porte une poitrine orange vif et un croupion blanc éclatant, tandis que le Pinson des arbres a une poitrine rosée et un dos brun.
On peut aussi le confondre de loin avec un moineau domestique — sauf que le pinson est plus coloré, plus fin et bien plus mélodieux !
Pas vraiment. Le Pinson des arbres aime la compagnie… à condition que ce soit la bonne !
Au printemps, le mâle vit seul sur son territoire, qu’il défend farouchement contre ses congénères. Mais dès la fin de la saison de reproduction, il redevient très sociable : on le voit se déplacer en bandes joyeuses avec d’autres pinsons, verdiers et chardonnerets.
Bref, il est indépendant sans être solitaire — un équilibre parfait entre besoin d’espace et vie de groupe.
C’est un comportement étonnant mais très courant ! Si un pinson frappe à votre vitre, c’est probablement parce qu’il voit son propre reflet et croit avoir affaire à un rival.
Au printemps, gonflé d’hormones et de courage, il attaque ce “double intrus” pour défendre son territoire.
Pas de panique : il finira par comprendre que l’autre oiseau ne répond pas. Vous pouvez l’aider en collant un autocollant sur la vitre ou en plaçant un rideau léger pour casser le reflet.
Et non, il n’essaie pas d’entrer chez vous : il se bat juste contre lui-même, ce petit bagarreur narcissique !
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